Page en travaux .
Le mot «Loisir» :
Le loisir ne se traduisait pas par l’oisiveté, mais par « la liberté d’échapper aux travaux productifs pour pouvoir se consacrer à des tâches plus élevées comme la politique (ta politika ou affaires de la cité), l’étude ou l’enseignement » (L. Migeotte, L’Économie des cités grecques, éd. Ellipses, 2007, p.26